Je baise avec ma pine

Paroles: Corporatio Bruxellensis!
Air: Titine
Je baise avec ma pine
Ma pin', ma grosse pine
Ma pine, elle est divine

Je ne m'en lasse pas
Tralalalala lala
Tralalalala lala

J'aime les rastaquouères
Dont le cul prolétaire
M'attire dans l'ornière!

J'aime les nymphomanes
Dont le cul mélomane
Me fait aimer les gammes.

Je promène en Asie
En Perse et en Russie
Ma vieill' blennorragie.

Les femmes d'Argentine
Ont un p'tit air coquine
Mon tich dans les narines.

Quand j' vais aux antipodes,
Je baise à tout's les modes
Debout sur la commode.

J'ai enfilé des bègues
Des longs, des minc's, des maigres,
Des voleurs, des intègres.

Quand je voyage en Grèce,
Je m'y prends à mon aise
Je baise les obèses.

Les femmes du Mexique
D'un' façon hystérique
Bais'nt comm' des mécaniques.

Pour chasser mon cafard,
Je baise à Gibraltar
Le cul en nénuphar.

Les femmes des Baléares
Avalent les molards
Qui sortent de mon dard.

Aux filles d'Israël,
Pour baiser avec elles,
Faut ach'ter leurs jarr'telles.

Du côté du Qatar
Y'a un nommé Omar
Qui veut filer son dard
Dans l' cul d' l'ayatollah


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Le zobi d'Ali Pacha

Gérard Doulsanne
Alla, Allala! Alla, Allala!
Le zobi d'Ali Pacha
L'est encor'plus gros qu'Allah!
Le zobi d'Ali Pacha est là.

Quand il entre à la mosquée
Pour y fair' son prière
Y peut pas s'agenouiller
Son zobi traîn' par terre.
Quand y s' promèn' dans la casbah
L'odeur attir' les mouches
Ca l' fait jouir sous son djellaba
Et ça coul' sur ses babouch's.

Les fatmas y s'en sont folles
Ell's le suc'nt ell's le fignolent
Il décharg' comme un puits de pétrole

Aïcha la fill' du cheikh
A chaqu' fois qu'il la r'nique
Il l'encul' toujours à sec
Ell' devient hystérique
Il va, il vient, il rentre, il sort,
Il défonc' la pastèque
Elle a du mal ell' crie bien fort
On l'entend jusqu'à la Mecque.

Quand il le glisse à la raie
On dirait un minaret
Tell'ment qu'il est gros ça fait pas vrai.

Les tantouz's du monde entier
Tous y font le voyage
Pour aller se fair' pointer
Par ce zobi sauvage
De beaux claouis tendus comme ça
C'est meilleur qu'un couscous
Quand ils y ont goûté un' fois
Les pédés y s'en veulent tous.


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Clémentine

Paroles: Corporatio Bruxellensis!
Elle avait pas l' clito en face du trou, Clémentine,
Et sa migeol' sentait fort le mérou, Clémentine,
Son mont d' Vénus était peuplé de poux, Clémentine,
Quand ell' pissait, ça suintait de partout, Clémentine.

Son gros cul pelé puait la rascasse
Les poils de sa motte étaient tous tombés;
Le trou de son cul était plein de crasse
Fallait du courag' pour se l'envoyer.
Une sèv' gluant' coulait sur ses cuisses
Un savant cocktail d' vieill's clott's et de pus;
Mélangé de sperm', de merde et de pisse,
Ah, mes amis, on boirait un tel jus!
Tarara boum tara tsoin!

Pour l'enculer. pas besoin de vas'line
Son lubrifiant était plus naturel,
Pour fair' glisser sans pein' les grosses pines
Ell' produisait les plus gluantes selles.
Pour la baiser, fallait être vic'lard,
Aimer l' fromage ou ne pas respirer;
Heureusement qu'en suçant votre dard
La bell' pètait pour donner de l'air frais!
Tarara boum tara tsoin!

Et de ses cheveux à l'aspect filasse
Personn' n'aurait pu dire la couleur,
Tant y avait d' mouch's sur sa vieill' carcasse
Qu'étaient v'nues là attirées par l'odeur.
Sur son visage, gros comm' des pois chiches
Des chancres mous dév'loppaient leurs senteurs,
Y avait tell'ment de boutons sur ses miches
Qu' c'était plus un' femm' mais un ordinateur!
Tarara boum tara tsoin!


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La ballade du mutant

Paroles: Philippe Bidaine
Air: Malheur à celui qui blesse un enfant (Enrico Macias)
Il est né un soir près d'un' central' nucléaire
D'un père alcoolique et d'un' mère éthéromane
Il avait trois jambes, de longs bras tous verts
Son grand nez tout jaun' luisait comme un' banane

Qu'il soit vert ou bleu depuis sa naissance
Il a les yeux roug's, il est plein d'excroissances
Qu'il soit asthmatique, goîtreux ou rampant
Malheur à celui qui blesse un mutant

Dans l'institution où l'on plaça le p'tit chauve
Il faisait bien rire avec sa douzain' de doigts
Il faut reconnaître qu'une main tout' mauve
Ca n'est pas courant sur la têt' d'un p'tit gars

Il y avait des jours où c'était dur pour l' pauvr' gosse
Quand avec un' sonde il fallait l'alimenter
Car je n' vous l'ai pas dit, mais en plus d' sa bosse
Le pauvre chéri était paralysé

Et quand il eut l'âge enfin d'aller vers les filles
Qu'il voulut sortir sa queue en form' d' tir'-bouchon
Sa petit' peau flasque était molle et sans vie
Et sa couille unique avait l'air d'un ballon


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Les bubons

Paroles: Cercle des Etudiants Bruxellois
Air: Les Bonbons (Jacques Brel)
Je viens de percer mes bubons
Avec les ongl's, c'est agréââble!
Ca coul', ça suint', ça sent pas bon,
C' a une odeur épouvantââble...
Mon pus est brun comme un étron
J' suis seul à percer mes bubons

L'autre jour j'ai baisé Annie,
J' lui ai mis ma pin' dans l' derrière,
J' lui ai r'filé mes bactéries,
Maint'nant sa tronche est un gruyère!
Ca, c'est vraiment tout à fait con,
A deux, on perce nos bubons!

Mais v'là qu' cett' salop' s'est barrée!
Ell' s'est trouvé un autr' couillon...
D'puis qu' cet andouill' l'a ramonée,
Il a sa pin' plein' de boutons!
Avouez qu' ça c'est franch'ment con,
A trois, on perce nos bubons!

Mais j' vois sourir' ceux du jury,
A votre plac', je n' f'rais pas ça!
Car cette horrible maladie
Qui sait si vous ne l'avez pas!
Pour être con, ça, ce s'rait con,
Ensemble on perc'rait nos bubons!


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C'est magnifique

Paroles: Corporatio Bruxellensis!
Quand j' veux baiser, ma queue s' met à bander,
Houlalala, c'est magnifique
Quand j' veux baiser, mes couill's s' mett'nt à gonfler
Houlalala, ça c'est comique
Quand j' veux baiser, mes g'noux s' mett'nt à trembler
Houlalala, c'est dramatique
Quand j'ai baisé, ma queue s' met à chanter:
C'est magnifique!

Quand j' veux sucer, ma bouch' s' met à pomper,
Quand j' veux sucer, ma langu' veut caresser,
Quand j' veux sucer, ma gorg' s' met à gratter,
Quand j'ai sucé, ma bouch' s' met à chanter:

Quand j' veux m' branler, mon gland s' met à briller,
Quand j' veux m' branler, mes doigts s' mett'nt à jouer,
Quand j' veux m' branler mes poils s' mett'nt à friser,
Quand je m' suis branlé, mon gland s' met à chanter:

Quand j' veux pisser, ma vessie doit gonfler,
Quand j' veux pisser, ma main s' met à pomper,
Quand j' veux pisser, ma pin' s' met à pleurer,
Quand j'ai pissé, ma vessie doit chanter:

Quand j' veux chier, mon cul s' met à péter,
Quand j' veux chier, j'ai l'intestin bloqué,
Quand j' veux chier, j'ai l'anus ravagé,
Quand j'ai chié, mon cul s' met à chanter:

Quand j' veux baiser, ma queue s' met à bander,
Quand j' veux baiser, mes couill's s' mett'nt à gonfler,
Quand j' veux baiser, mes poils s' mett'nt à friser
Quand j'ai baisé, ma queue s' met à chanter:


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L'index

Air: Comment te dire Adieu
Paroles: Paul Hubinon, Christian Gilliard, Dominique Klutz, Jacques Wodelet
Avec mon index dans ton cach'-sexe
Et mon annulair' dans ton derrière
J'aurais bien voulu te lècher l' cul
Mais je n'ai pas pu

Tes hémorroïd's te font souffrir
Mais je suis content ça me fait jouir
Si ça continue le trou d' ton cul
Me s'ra défendu

Avec mon long tich entre tes miches
Et avec ma pair' de couill's qu' tu chatouilles
Je n'ai pas voulu te gratter le cul
Ca t'aurait trop plu

Avec ma gross' pin' dans tes narines
Quand j'éjaculais t'as tout r'niflé
J'ai mêm' pissé jusqu'à ton gosier
T'as pas dégueulé

T'as pourtant du bol qu' je t' carambole
Y a pas un autre homm' qui voudrait ta pomme
Ton con si crasseux, non personn' n'en veut
Mais il m' rend heureux


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Tich, oh mon tich

Air: Biche, oh ma biche
Tich, oh mon tich(e), quand tu dégoulines
En longs jets d' sperme bien juteux,
Ti'ch, oh mon tich(e), moi je m'imagine
Que tu n' pourras plus faire mieux.

Mais quand alors un' langue te chatouille
Tu te redresses tout plein de vigueur
On voit se tendre la peau de tes couilles
Et tu parais baigner en plein bonheur.

Alors ton gland se met à la recherche
Du petit trou à l'odeur de poisson
Mais si avide, quand il se dépêche
Qu'il ne distingue pas le cul du con.

Et quand enfin un' douce main experte
Te conduit vers l'adéquat orifice
En remuant, tous les sens en alerte,
D'un air joyeux tu entam's ton office.

Puis tout douc'ment le mouv'ment s'accélère
Et tous tes nerfs se mettent à frémir
D'un long crachat joyeux tu te libères
Je te connais, tu adores jou-ir.

Et quand à l'aub' se pointe le soleil
Et que je pens' disposer d'un répit
D'un picot'ment aigu tu me réveilles
C'est parce que tu veux faire pipi.


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Marinella

Marinella,
Quand j' t'ai vue pour la premièr' fois
Tu te branlais sur ton balcon
Et ça sentait fort le poisson
Marinella,
Ce jour-là je t'aimais déjà,
J'ai déchargé comme un cochon
Et salopé mon pantalon

Quand je t'ai déshabillée
Souviens-toi comm' tu mouillais
Ton clitoris enflammé
Brillait dans l'obscurité
Et ton vagin ruisselait
Et on a enfin baisé
Oh! volupté

Marinella
Prends-moi la bite avec les doigts
Caresse mon bijou d'amour
Je jure de t'aimer toujours
Marinella,
Que tu es gentille avec moi,
Et quand tu me suces le dard
J'ai les orteils en nénuphar

Et lorsque je suis entré
Au fond de ton bassinet
J'avais le vit en chou-fleur
Et je brâmais de bonheur

J'ai rencontré les morpions
Qui dansaient le rigodon
Au fond du con

Marinella
C'est si bon la première fois;
A deux nous avons recréé
Tout l'amour de l'humanité
Marinella
Tu étais vierge souviens-toi
"Tu étais mon premier amant"
Me confi-as-tu tendrement

Et blotti entre tes cuisses
J'ai attrapé la chaud'-pisse
En pédalant du pénis
J'ai chopé la syphilis
En foutant au fond du con
J'ai encaissé des bubons
C'était pas bon

Marinella
Comment as-tu pu me fair' ça
Quand j'ai écarté tes guibolles
Ca sentait plutôt le formol
Marinella
Je ne band' plus à caus' de toi
Je vois ma quéquette pleurer
Et j'en suis tout désespéré

J'ai été jusqu'au binoche
Où j'ai contemplé ma floche
En chantant la tyrolienne
Au fond de la vespasienne

Frappé de blennorragie
Je regardais mon pauvr' vit
Tout rabougri

Marinella
J'aurais dû écouter papa
Qui me disait "Fils, méfie-toi
Des pucell's que tu n'connais pas"
Marinella
Je crois que je r'commenc'rai pas
J'aurais mieux fait de me branler
Plutôt que de te déflorer


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